Ne me dites plus jamais bon courage !

Tout intello que l’auteur puisse-être, ce livre n’est pas un livre intello !

Sa lecture glisse avec facilité, embaumant le cœur et l’esprit d’une joie nouvelle pour vous laisser au bout d’une heure ou deux rempli d’enthousiasme et d’espoir.

On y sent un peu d’auto détermination. Avec élégance, Philippe Bloch érige l’optimisme en méthode. Les Français sont tristes, dit-il et cela s’entend. Sans même s’en rendre compte, nous contribuons à force d’expressions pessimistes à nous miner collectivement le moral et à nous enfoncer un peu plus dans une inquiétante dépression généralisée. Nous avons peur que l’avenir soit pire que le présent, et cela saute aux oreilles. Le manque de projets pourrait nous condamner au déclin.

Avec des expressions telles que «pourvu qu’il ne m’arrive rien», «ça ne marchera jamais», «le problème, c’est que...», «Vivement la retraite», «dans CE pays...», «C’était mieux avant», «on a toujours fait comme ça», «un petit café et une petite cigarette» ou ce sinistre et perfide«bon courage», nous participons tous à une spirale infernale à laquelle il est urgent de mettre un terme.

Philippe Bloch décrypte dans son nouveau livre les peurs et les blocages que révèlent douze phrases et expressions couramment utilisées en France. Avec humour et bienveillance, il se livre à une analyse critique des Français et des challenges qu’ils pourraient relever.

Plutôt que d’appeler à «l’indignation» stérile et frustrante, cet incorrigible optimiste appelle au réveil, à l’action et à l’enthousiasme. Il invite ses lecteurs à retrouver l’envie d’avoir envie à faire des projets, à rêver grand, à ne plus s’accrocher à un passé révolu. Il les invite avant tout à rejoindre le camp des optimistes et des enthousiastes.

Et pour tous ceux qui ont envie de le suivre, voici son site : www.plusjamais.fr